Quand la mode et la variété promeuvent l'idéologie du gender

La chanteuse canadienne lance une ligne de vêtements conçue en collaboration avec la marque israélienne Nununu. D’où la marque Celinununu, où l’artiste mêle au mauvais goût l’idéologie du genre. 

Dans une vidéo promotionnelle, Céline Dion se met en scène dans une maternité où les bébés sont tous vêtus de rose ou de bleu en fonction de leur sexe. Elle tire subitement de sa poche une poignée d’étincelles noires qu’elle souffle dans les airs : le maléfice fait alors son effet, et les tenues des nourrissons sont toutes transformées en des vêtements neutres, noir et blanc, flanqués de croix ou de têtes de mort. 

Le catalogue de la collection fourmille de représentations malsaines et dérangeantes : poupées sans tête et enfants androgynes, maquillés tantôt en squelette, tantôt avec des visages d’épouvante. Le tout pour vendre des vêtements « non genrés » pour les enfants de 0 à 14 ans. 

« Celinununu unit deux forces en une voix : la mode a le pouvoir de façonner les esprits : incitez vos enfants à devenir libres et à trouver leur propre personnalité à travers leurs habits » annonce froidement le site commercial. Le slogan “Ordre nouveau” apporte sa touche mondialiste et illuminée.  

Le journal américain National Catholic Register y voit d'ailleurs une oeuvre sataniste. Sous couvert d'opération commerciale, la mode vestimentaire et la musique moderne s'unissent pour promouvoir l'idéologie du genre et façonner les esprits à leur guise. Dès le berceau on s'attaque à l'ordre naturel et à déconstruire la nature humaine.